Publié le 21 février 2019
Suite à la démission annoncée de Philippe Basta, le conseil d’administration de France Blonde d’Aquitaine sélection a porté à la présidence de l’association Pierre Burgan, éleveur à Lecussan dans la Haute-Garonne.
Trois questions à... Pierre Burgan
Vous venez d’être élu président national.
Quels sont vos axes de travail prioritaires ?
« Je vois deux pistes privilégiées : la première est technique. La race Blonde d’Aquitaine doit progresser sur la productivité, au travers du caractère de facilité de vêlage. Nous disposons de leviers techniques pour améliorer les résultats de reproduction. Ces progrès se feront en collaboration avec Bovins croissance et les centres d’insémination, avec en ligne de mire un seul objectif : que les éleveurs puissent vivre de leur métier.
Quelle est votre seconde piste de travail ?
Elle s’inscrit dans la continuité du projet Avenir viande en cours, qui doit nous donner une ligne de conduite pour communiquer auprès du grand public. La Blonde d’Aquitaine bénéficie d’une image terroir forte. Sa viande affiche une tendreté incomparable. Nous travaillons sur une stratégie de communication pour valoriser tous ces points forts auprès des bouchers et des consommateurs. Nous avons un produit d’une qualité exceptionnelle. Le défi consiste à mieux savoir le vendre.
Quel peut être l’impact pour l’élevage du département d’avoir un haut-garonnais qui préside un OS national ?
Même si je reste impliqué au niveau local, j’ai accepté le poste national pour apporter ma vision à une plus grande échelle. J’ai ainsi la responsabilité du suivi de 1.000 élevages. La Blonde d’Aquitaine est la première race estivée en France, elle s’adapte à tous les systèmes et se développe partout en France. Être engagé au niveau national ne peut qu’avoir un impact positif sur le département et tirer l’ensemble des éleveurs vers le haut »
Quels sont vos axes de travail prioritaires ?
« Je vois deux pistes privilégiées : la première est technique. La race Blonde d’Aquitaine doit progresser sur la productivité, au travers du caractère de facilité de vêlage. Nous disposons de leviers techniques pour améliorer les résultats de reproduction. Ces progrès se feront en collaboration avec Bovins croissance et les centres d’insémination, avec en ligne de mire un seul objectif : que les éleveurs puissent vivre de leur métier.
Quelle est votre seconde piste de travail ?
Elle s’inscrit dans la continuité du projet Avenir viande en cours, qui doit nous donner une ligne de conduite pour communiquer auprès du grand public. La Blonde d’Aquitaine bénéficie d’une image terroir forte. Sa viande affiche une tendreté incomparable. Nous travaillons sur une stratégie de communication pour valoriser tous ces points forts auprès des bouchers et des consommateurs. Nous avons un produit d’une qualité exceptionnelle. Le défi consiste à mieux savoir le vendre.
Quel peut être l’impact pour l’élevage du département d’avoir un haut-garonnais qui préside un OS national ?
Même si je reste impliqué au niveau local, j’ai accepté le poste national pour apporter ma vision à une plus grande échelle. J’ai ainsi la responsabilité du suivi de 1.000 élevages. La Blonde d’Aquitaine est la première race estivée en France, elle s’adapte à tous les systèmes et se développe partout en France. Être engagé au niveau national ne peut qu’avoir un impact positif sur le département et tirer l’ensemble des éleveurs vers le haut »